Histoire
porno - La Fête
Caroline,
ma jolie compagne, s'est révélée sous
ma conduite et ma protection, une véritable exhibitionniste,
fière de son corps, particulièrement de ses
seins, toujours dévoilés par de superbes décolletés.
Chaude, nature et sensuelle, j'en ai fais, pour notre plus
grand plaisir, une femme très libérée
et je suis toujours aussi étonné de l'enthousiasme
avec lequel elle partage mes délires fantasmagoriques.
L'été dernier, au cours d'une fête bien
arrosée chez de bons amis, elle étrennait
une ravissante robe blanche, si près du corps et
moulante qu'elle n'avait pu mettre dessous que des bas Dim-up
blancs et un string microscopique. Durant cette fête
nous avons fait connaissance d'un garçon d'une trentaine
d'années, Philippe, récemment quitté
par sa compagne, que nos hôtes avaient invité
pour essayer de chasser ses idées noires.
J'ai aussitôt senti son intérêt pour
Caro. Il faut reconnaître qu'elle est plutôt
jolie, souriante, liante, et ce soir là, sexy à
croquer. Au bout d'un moment, punch maison aidant, l'ambiance
était très chaude, et après avoir pas
mal dansé avec ma compagne, maintenant mobilisée
par le célibataire qui semblait reprendre goût
à la vie, j'avais sympathisé avec une jeune
femme dont le mari avait l'air assez rabat joie et me lançait
des regards peu amènes, ce dont je me moquais bien,
trouvant sans doute que je dansais trop avec sa femme, laquelle
riait et ne semblait pas du tout ennuyée de ma compagnie.
En un mot tout allait bien, je m'amusais de voir Caro se
laisser serrer d'un peu près et trouvais ma cavalière
délicieuse. Il est vrai que j'adore ce type de jeux,
et nous étions tous un peu euphoriques. Mais hélas,
au bout d'un moment, après une brève discussion
avec son mari, ma nouvelle amie m'a annoncé avec
regret que celui ci voulait rentrer, et que même si
elle le trouvait "très chiant", elle ne pouvait pas
ne pas le suivre. Je lui ai murmuré à l'oreille
"Dommage!" en lui caressant discrètement
les fesses. Elle a souri d'un air désolé et
ils sont partis. J'ai retrouvé Caro dans la pièce
à coté, ondulant dans les bras de son cavalier,
assez étroitement collée à lui, sur
un slow très lent, dans une pénombre propice
aux confidences et caresses.
Elle était souriante et ne m'a même pas vu.
Je n'ai pas voulu casser cette ambiance du fait de ma nouvelle
solitude, et, un peu triste et dépité, suis
sorti faire quelques pas dehors avant de me mettre en quête
d'une nouvelle partenaire. Cette dernière caresse
non refusée par ma cavalière m'avait un peu
échauffé les sangs, et en regardant par la
fenêtre Caroline soudée à son nouvel
ami, je me suis mis à rêver d'une soirée
de débauche, d'autant que je voyais le garçon
lui frôler souvent les fesses, lui parlant à
l'oreille ; Elle avait l'air heureuse. Il lui a même,
durant quelques instants, empaumé un sein, sans qu'elle
ne manifeste aucun rejet, et quand il a engagé sa
jambe entre celles de ma compagne, il m'a semblé
qu'elle écrasait carrément son pubis sur la
cuisse de son cavalier.
Elle se laissait draguer et allumer avec complaisance. Je
l'imaginais un peu ivre et sans doute très excitée,
et je l'étais autant qu'elle. Ils se sont arrêtés
de danser, elle semblait me chercher et je suis allé
à sa rencontre, pour l'entraîner dans mes bras
sur un nouveau morceau.
- Tu es seul, mon chéri ? Ta petite amie de tout
à l'heure t'a déjà quitté ?
- Rentrée avec son mari ...
- Pauvre choux ! me dit elle en riant. Moi qui te croyais
en bonne compagnie...
- Il m'a semblé que toi tu n'étais pas seule...Lui
dis je avec un soupçon de reproche
- Tu n'étais pas là pour me faire danser,
alors Philippe a essayé de me consoler ... ! Me dit
elle avec un sourire espiègle et l'oeil brillant.
Et elle s'est collée contre moi, écrasant
ses seins sur mon torse et son ventre sur ma cuisse. A chaque
mouvement elle se frottait sur moi et je réagissais
sans équivoque. Philippe était au bar et nous
observait discrètement En lui caressant les fesses
ostensiblement, je lui murmurais :
- J'ai envie de te baiser !
- Je le sais et je le sens ! J'ai envie aussi !
- Je suis sur que tu es trempée !
- Devines ! Me répondit elle d'une voix rauque.
- Est-ce qu'il bandait autant que moi !
- D'après ce que j'ai senti, oui !
- Tu mouillais déjà en dansant avec lui !
- Oui, beaucoup ! Et ca t'excite hein mon beau salaud ?
- Il a essayé de te peloter ?
- Il y est même très bien arrivé...!
- Et j'imagine que ca t'a plus ?
- Beaucoup !
- Et ca m'a vraiment fait mouiller !
Nous adorons tous les deux ce jeu cérébral
et très excitant. Et je la sentais vraiment aussi
chaude que moi.
- Tu aimerais coucher avec lui ?
- Pourquoi pas ! Il est mignon et drôle ! Mais je
dirai plutôt baiser avec lui !
- Salope ! Tu veux que je te laisse le rejoindre ?
- Je voudrais surtout que tu restes là... me répondit
elle dans un souffle
- Tu voudrais qu'on te baise tous les deux ?
- Idiot ! Tu sais bien que ce n'est qu'avec toi ! Et c'est
bien ce que tu aimerais, non ?
- Oui ! Et je voudrais que tu retournes avec lui pour l'instant.
Tu devrais pouvoir lui faire comprendre !
- Je crois avoir des arguments pour ça !
- Viens d'abord avec moi, j'ai envie de te sucer la chatte
!
Je l'ai entraînée à l'étage.
Nous avons découvert la salle de bain. Adossée
au lavabo, robe troussée sur les hanches, elle m'a
laissé retirer son string trempé. A genoux,
j'ai découvert sa chatte gonflée, l'entrée
de son vagin dilatée et moite de foutre, son clito
tendu. Je lui ai léché la fente comme elle
aime, pendant qu'elle se caressait les seins à travers
sa robe. Je voulais la rendre folle et la jeter dans les
bras de son admirateur, alors je me suis arrêté,
et elle m'a demandé :
- Prends-moi maintenant !-
Non ! Plus tard petite salope ! Viens !
Elle m'a suivi sans réclamer son slip que j'avais
glissé dans ma poche. Je l'ai entraînée
sur la piste et elle s'est collée à moi comme
une ventouse sous l'oeil envieux de Philippe qui n'avait
pas bougé et ne nous lâchait pas des yeux.

- Je crois que ton soupirant aimerait danser avec toi !
- Salaud ! Tant pis pour toi, tu l'auras voulu !
- Je suis sur qu'il aimerait te bouffer la chatte comme
je viens de le faire. Et en plus il va découvrir
que tu es toute nue sous ta robe, prête à te
faire baiser comme une petite pute.
- Si tu ne me baises pas maintenant, je risque de monter
directement avec lui pour me faire enfiler !
- Si tu préfères être seule avec lui,
ce soir tu as carte blanche !
- Idiot ! Ne t'éloigne pas trop !
Je l'ai laissée là et suis sorti fumer une
cigarette. Rétrospectivement, et malgré l'air
détaché avec lequel je lui avais donné
ma bénédiction, j'aurais été
affreusement humilié et malheureux qu'elle envisage
de ne pas me faire participer à ses ébats.
Instinctivement, je la sentais sensible au charme du garçon,
et je devais bien reconnaître qu'il n'en était
pas dépourvu. Alors je restais vigilant. Par la fenêtre,
je les ai vus à nouveau enlacés, dansant lentement.
Plus ils se parlaient, plus elle se collait à lui.
Il lui a posé une main sur les fesses. Puis soudain,
il l'a entraînée par la main et ils sont sortis.
Le coeur battant, je me suis dissimulé. Il l'emmenait
vers la grange près de laquelle étaient stationnées
les voitures. Elle lui donnait la main, le suivant docilement,
sans s'inquiéter à priori de ma présence,
mais s'assurant -soulagement- au dernier moment que j'étais
en vue, et ils ont disparus au coin du bâtiment. Je
suis passé de l'autre coté pour les retrouver,
les tempes bourdonnantes, aussi excité qu'un peu
inquiet. Dans la pénombre, sa robe blanche était
extraordinairement visible. Enlacés, elle contre
le mur, ils s'embrassaient à pleine bouche, et il
lui pétrissait les seins. S'écartant un peu
d'elle, je l'ai vu remonter sa robe sur ses hanches, révélant
ses bas blancs. Elle se laissait trousser sans résistance.
Il a glissé la main entre ses cuisses elle et je
l'ai entendu dire d'une voix rauque :
- J'étais sur que tu étais toute nue sous
ta robe ! J'aime ça !
Elle a fléchi les jambes en soupirant, les mains
nouées autour de la nuque de son amant. Il devait
la branler profondément, car elle a levé une
jambe en s'arqueboutant. Elle s'est mise a feuler comme
une salope et je l'ai sentie jouir. Pour la calmer, il l'a
prise dans ses bras, et lui a dit :
- J'ai envie de te faire l'amour !
- Je ne veux pas faire l'amour sans Pierre ! L'ai-je entendu
répondre d'une voix mouillée.
- Tu veux dire tous les trois ?
- Je ne l'ai jamais trompé !
- Et il serait d'accord pour que je reste avec vous ?
- Oui ! Il sait que je suis avec toi ! Ca ne te choque pas
trop ?
Stupeur et incrédulité du garçon se
sont manifestés par quelques instants de silence.
-Euh...Non ! Et je ne regrette pas de t'avoir rencontré
! Si vous voulez, je vous emmène chez moi !
Je leur ai laissé le temps de rentrer et ai contourné
la maison. Lorsqu'elle m'a rejoint, les yeux brillants,
elle s'est jetée dans mes bras en murmurant :
- Alors, voyeur, ca t'as plu ?
- Tu savais que j'étais là ?
- Je te sentais !
- Tu as bien joui...
- Oui mon salaud ! Mais maintenant j'ai envie d'autre chose
! Philippe voudrait nous emmener chez lui !
J'étais un peu ahuri, car c'était vraiment
la première fois qu'elle prenait l'initiative de
ce genre de jeux. L'élève commençait-il
à dépasser le maître ? Mais j'en étais
plutôt content, moi qui rêvais d'en faire une
parfaite petite salope ! Nous avons rejoint Philippe. Il
avait l'air un peu embarrassé, mais je l'ai mis à
l'aise :
-Nous
avons parfois des jeux curieux, mais jamais l'un sans l'autre,
et puis la vie est courte, non ? Tandis
que nous le suivions en voiture, je n'ai cessé de
la peloter. Elle avait les pieds posés sur le tableau
de bord, totalement ouverte et impudique. Lorsque nous sommes
arrêtés, elle est descendue de voiture sans
même rabattre sa jupe, et sitôt entrés,
debout, au milieu du salon, sans même laisser à
notre hôte le temps d'ouvrir la bouche, j'ai fait
glisser sa robe le long de ses épaules.
Philippe s'est aussitôt approché derrière
elle, lui pétrissant les seins à pleines mains.
Elle n'avait plus que ses bas, se laissant peloter par son
amant, me regardant avec un air de lubricité totale.
Il nous a entraîné vers sa chambre, la tenant
par la main, l'a allongé sur son lit, et nous nous
sommes déshabillés en la regardant, offerte,
les cuisses légèrement ouvertes, la fente
baillante et brillante de foutre, les tétons tendus.
Tout cela était allé tellement vite que j'aurais
été incapable de décrire la maison,
de dire ou nous étions... Seule ma petite pute allongée
nue, dans cette pièce inconnue, comptait pour moi.
La présence de ce garçon avec lequel je n'avais
pas échangé trois mots me semblait irréelle,
et pourtant physiquement très excitante. Je réalisais
à travers les brumes qui obscurcissaient mon cerveau
que c'était elle, et elle seule, qui était
l'instigatrice de cet instant. Rarement elle avait manifesté
tant d'autorité, elle si soumise dans son partage
de mes délires.
Nous avons passé une nuit de débauche, la
suçant et la prenant dans toutes les positions. Même
au plus fort de nos délires érotiques, je
ne l'avais pas souvent connue aussi insatiable. Elle qui
n'aime pas être enculée sans un minimum de
préparation avec un corps gras, nous a demandé
deux fois de la prendre en sandwich, d'abord à moi,
avec seulement la queue enduite de son foutre, alors qu'elle
était allongée sur son amant.
La seconde fois, alors qu'elle était empalée
sur mon pieu, elle a demandé à Philippe de
la sodomiser sans lui faire aucune recommandation...
La nuit fut chaude, très chaude, et par moments très
tendre, d'une tendresse dont bénéficia Philippe
et dont je n'aurai pas même pas imaginé faire
le reproche à Caroline. |